Nous nous sommes connus sur le net, via un forum aujourd’hui disparu. Cela faisait à peine trois mois que j’étais dans un studio parisien et je savourai la liberté de manger quand je veux, de dormir quand je veux sans que mes parents ne me cassent les pieds. La domination soumission a toujours éveillé en moi quelque chose mais je n’arrivais pas à définir quoi.

J’ai donc commencé à surfer sur des sites et je me suis dit, pourquoi ne pas essayer en virtuel. Par chance d’après ce que je lis, je suis tombée très rapidement sur un Maître sympa qui me fait faire des choses folles mais sans jamais me bousculer. Cela débouchait souvent sur des jouissances torrides, je me sentais à la fois des ailes et de petites douleurs à cause des pinces à linge qu’il m’obligeait à porter sur les seins ou sur les lèvres avant pendant que je me masturbais.

Bien que tout cela semble un peu fou, je ne me sentais ni folle ni coupable puisque c’est lui qui m’obligeait à faire des choses. Il m’a aussi appris l’hygiène en m’obligeant à mettre des préservatifs sur tout ce qu’il m’a imposé et qui servait de dildo et phallus imaginaires. Une fois, j’ai eu très peur dans la rue, le petit concombre que j’avais dans la chatte est sorti tout seul. Marcher avec ça dans la culotte est plus gênant que marcher avec ça dans la chatte croyez-moi sur parole si vous ne l’avez jamais fait.

Comment suis-je devenue un bébé soumise ?

Le délire est parti d’un tchat sur le net où il m’a traitée en rigolant de grand bébé. Pour rigoler j’ai déliré en racontant que je suçais encore mon pouce puis que je n’étais pas encore propre. Il s’est aussitôt engouffré sur le sujet en me parlant de me donner une fessée et de me faire porter des couches pour la nuit. N’étant pas bien riche et sentant qu’il allait me l’imposer, j’ai tout de suite dit que je n’avais pas assez d’argent pour me payer des couches c’est ce qui a généré notre première rencontre !

Il m’a donné un rendez-vous dans une brasserie en me disant qu’il m’apporterait tout ce qu’il faut mais qu’en contrepartie, je m’engageais à lui envoyer une photo de moi en couche. J’ai accepté autant par envie de le rencontrer que pour le défier. Autant vous dire que ma journée à la fac fut aussi longue qu’inutile puisque je n’arrêtais pas d’y penser. J’ai donc rencontré André pour la première fois à la terrasse d’une brasserie. J’étais extrêmement gênée car si moi je pouvais le voir, lui il pouvait aussi voir la fille qui se mettait des pinces et des choses dans la chatte ou le cul….. Il m’a félicitée pour mon courage et d’être venue en ne tarissant pas d’éloge sur ma beauté. Un beau parleur en somme de 15 ans de plus que moi mais qui, passé le moment de gêne, me troublait énormément.

Une heure plus tard, nous discutions de tout et de rien comme si cela faisait 10 ans que l’on se connaissait. Il dut partir rejoindre sa femme pour éviter les soucis (il était en plein divorce) mais quand il s’est levé pour me donner un gros sac de voyage, mes jambes ne semblaient plus me porter. Quand nous nous sommes faits la bise j’ai craqué pour son parfum et la douceur de sa peau que j’ai touché des doigts sur son bras. Hummm j’étais déjà amoureuse et ce contact a enflammé mes sens….. .

Arrivée à la maison, je me suis traitée de folle quand j’ai ouvert le sac qu’il m’a donné. Il y avait effectivement un sac de couche-culotte à l’intérieur ! Vers 22 heures, nous nous sommes retrouvés sur MSN et il n’a pas tari d’éloges à mon sujet. Conformément à sa demande, je me suis mise nue, j’ai pris une règle et je me suis mise dix coups sur les fesses en me traitant encore de folle. Ce sentiment de folie s’est empiré quand à sa demande j’ai du regarder si je mouillais. Je ne mouillais pas non, mon chaton était trempé. Quand il m’a obligé à lécher mes doigts le sentiment de lui appartenir m’a submergé.

Il a été très méchant avec moi en m’interdisant de jouir ce soir là !!!!!!!!!!!!! Pour avoir le droit de jouir, je devais mettre la couche, dormir avec et la garder jusqu’à 10 heures le lendemain puis faire une photo que je devais lui adresser par email.

Pour bien asseoir sa domination et me provoquer à son tour, il m’a rappelée que je m’étais engagée à porter une couche s’il m’en achetait. L’idiote que vous êtes en train de lire étant d’un naturel têtue et pas du style à fuir ses engagements lui a répondu « oui Maître ». J’ai donc mis la couche, ma chemise de nuit et je lui ai adressé avant de couper mes bises respectueuses de bébé soumise.

Si mettre une couche n’est pas trop gênant quand on est seule, faire pipi dedans en est une autre. En étant couchée je n’y suis pas arrivée, en plus j’avais peur que cela fuit et de tremper mon lit. Je me suis levée et j’ai arpenté mes 25 mètres carré en essayant de me contenir mais j’ai fini par me dire qu’il fallait que j’en fasse un peu pour ne pas craquer en plein. La sensation de chaleur dégagée par l’urine a disparu rapidement et il n’y a pas eu de fuite. Même si je ne me suis jamais sentie aussi cruche pour apaiser ma vessie j’ai récidivé deux ou trois fois avant de finalement me laisser aller en me caressant les tétons. Je crois que c’est à cet instant que je suis devenue bébé. Mon corps était comme pris de contractions. C’était divin et je serai bien allée plus loin si j’en avais eu le droit. Me rendormir fut difficile…..

Le samedi matin, comme vous vous en doutez, mes yeux étaient rivés sur la pendule. Je n’ai pas pu retrouver mon Maître sur MSN à cause de sa femme qui cherchait des preuves d’adultère pour leur divorce mais il m’avait adressé un email de bonne heure, signe qui m’a comblée de bonheur car il pensait à moi-même avec en étant avec sa bourgeoise. Je m’étais engagée, je l’ais faite sa photo de moi en couche-culotte. J’en ai fait plusieurs en face de la glace pour qu’il me voit bien mais pour que mon visage n’apparaisse pas.

J’ai attendu 10 heures pour lui adresser sa photo mais j’avoue avoir gardé la couche-culotte le temps d’apaiser le feu qui couvait en moi……..

Cette première expérience a changé ma vie, je revois André, il vient parfois à la maison me donner la fessée avant de me câliner et de me mettre en couche pour la nuit. Ses caresses avec le talc sont divines…….. J’aime comme une folle mon Maître qui est un amant aussi généreux qu’extraordinaire. Il m’aide financièrement pour finir mes études et ma garde robe de femme et de bébé adulte grandit tous les mois un peu plus. J’ai maintenant une grenouillère, une robe de petite fille, des culottes en plastiques de toutes les couleurs, de grosses couches et je porte tout ça pour lui avec grand plaisir. Quand il sera divorcé, nous devrions nous mettre ensemble.

Je sais qu’il ne me ment pas quand il me parle de son divorce, car pour me prouver qu’il est honnête il m’a remise une copie du dossier. Croisons les doigts.

Marine